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 Les koalas pondent des oeufs.

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MessageSujet: Les koalas pondent des oeufs.   Les koalas pondent des oeufs. Icon_minitimeSam 31 Mai - 21:25

Bon ben voilà, mon roman, bien que je n'ai pas terminé mon premier chapitre ^^'.... J'avance lentement, page par page ^^'... Pardon s'il manque des tirets poru les paroles, mais open office c'est nul ^^'.........

Les koalas pondent des oeufs.

Prologue
La psychologie des humains

Ce matin j'ai été me promener dans ma ville, bien quelle soit minuscule. De toutes façons, même ma vie est minuscule. Enfin, dirais-je plutôt, banale. Beaucoup de gens se plaignent qu'ils ont une vie trop mouvementée, d'autres apprécient le fait que chaque jour il y a un tournant dans leur vie, moi je me demande comment ils font. Je ne sais pas si dans ce monde je suis le seul humain à avoir une vie banale, morne et monotone, et je dois avoué que je m'en fiche un peu complètement. Mais là n'est pas le sujet. Vous devez vous demandez qu'est ce que je vous raconte encore là... Vous êtes si pathétiques. Assis dans votre fauteuil, ou couché dans votre lit, entrain de dévoré cette page, se demandant si je ne suis pas quelque peu fou...

Je dois vous avoué un truc, j'ai toujours trouvé les autres humains que moi très banals. Ils y en a qui se maquillent, qui achètent des habits à la mode, rose, qui adorent les chevaux et les dauphins, et qui serait prêt à sortir avec le premier beau gosse qu'ils croisent. Ca c'est les pré-adolescentes. Chez les garçons, c'est le foot, les voitures, et surtout le sexe... Ils y en a aussi qui sont hors-catégorie, un peu comme moi, mais qui veulent être différents, et puis il y a toutes autres sortes de gens divers et quelques peu spéciaux. Moi je ne suis qu'un humain sur quelques milliards, malgré que la plupart sont des chinois.

Mon nom ? Je ne vois aucunement pas pourquoi je vous le dirais, sa ne vous regarde pas, je n'ai pas besoin de vous le dire, donnez moi le nom de que vous voulez. Le nom de votre animal de compagnie, le nom du livre, le nom de votre petit(e) ami(e), le nom de votre futur gosse, le nom de vos parents... Ou même, tiens, pendant qu'on y est, appelé moi ? X ?. Moi je vais tout simplement me faire appeler Arthur, parce que c'est ma mère qui voulait que je m'appelle comme ça. Mais comme mon père n'était pas en accord avec elle, ils m'ont donc appelé le nom que je porte sur mon dossier médical. Et puis tout le monde m'appelle Arthur, alors....

Bref, à part sa, je n'ai pas grand chose à vous raconter pour ce stupide prologue, mais j'avais juste envie de raconter un peu n'importe quoi, juste histoire que vous voyez si vous aller aimer ce livre ou pas. Donc vous avez encore le temps d'arrêter la lecture et de repartir à vos activités. M'enfin, moi je continue mon histoire, même si il y en a pas vraiment. Je vous racontais donc, que j'ai été me promener en ville ce matin.... Ben, je me suis vraiment ennuyé. C'était mort, y avait personne. Même dans le centre-ville. Les magasins étaient fermés, le vent soufflait violemment, d'ailleurs sa m'a bien embêté j'ai les cheveux un peu trop long, il faudrait que je demande à ma mère de me les couper... Et puis à un moment la pluie est tombé, j'ai pas voulu rentrer, j'avais rien à faire après, alors j'suis resté dehors, à observé les gouttes. Quand soudain j'ai cru entendre un hurlement, comme une sorte de ? Tayo ? mais je crois que j'ai halluciné, ou alors que j'ai confondu sa avec le vent. En tout cas je ne m'appelle pas Jeanne d'Arc à ce que je sache. Où alors était ce quelqu'un qui voulait encore faire son original... Bah, qui sait... En vérité je m'en fiche un peu.

Mais je me demande un truc.... Qu'est ce que je vais faire cet après-midi ? Heureusement que les magasins sont ouverts....







/ 1 \

Chapitre 1
''Salut, quoi de neuf ?''

Finalement le repas est passé bien rapidemment, après une discution à propos des courses qu'il fallait faire entre mes deux parents qui sont en réalité des parents adoptifs (les vrais sont mort dans un accident de voiture quand j'avais six ans.), et mes résultats à l'école, avec un repas composé de pâtes et de poisson pané cuisiné par mon père, j'ai finalement aidé ma mère à faire la vaisselle, et je me suis décidé enfin des activités que j'allais faire. Je vais sortir dehors, comme ce matin. Sa sera peut être un peu moins mort...? Quoiqu'en réalité je m'en fiche un peu. Il faut que je pense à demander de l'argent à maman. Elle va sûrement accepter, c'est pour la bonne cause. Donc, je prépare mon petit sac, comme une sorte de sac à main, mais qui est fait pour les hommes. Dedans je met un livre, un caillou porte bonheur au cas où que le malheur plane au dessus de moi, même si je n'y crois pas trop, c'est juste un cadeau de ma mère biologique le jour où elle m'a expliqué la différence entre les humains et les pierres.

Et ne croyez pas que je vais vous racontez cette différence, sa ne vous intéresserait surtout pas. De toutes façons vous même vous ne m'intéressez aucunement pas. J'écris juste parce que j'ai envie. Donc si sa vous plait pas ce que je dit. Je peut vous dire au revoir. Moi je continue donc. Après avoir préparé mon cher petit sac, je décide finalement de mettre mes affaires dans un sac à dos que je possède. C'est un sac noir, tout noir, avec aucun détail. Donc comme ça.... C'est simple. Aucune grosse description à faire. Je remet donc mes affaires dedans. Et puis finalement je descend les escaliers. Maman m'aperçoit. Elle est jolie. Des longs cheveux marrons attachés en queue de cheval et des yeux bleus clair comme le ciel. Mais ce qui est encore plus beau chez elle, c'est son sourire, qui me rappelle celui de ma vraie maman. Elle ouvre alors la bouche pour me dire d'un ton tellement doux, quelques mots...

Oh ! Arthur, tu sors ? Amuse toi bien ! Tiens, je te donne un peu d'argent.

Tout le monde m'appelle Arthur, parce que j'ai toujours voulu m'appeller Arthur. Maman s'y est habitué et m'appelle comme ça. Même les professeurs m'appellent comme ça, on dirait presque que mon vrai prénom à disparu. Mais c'était parce que je voulais oublié un certain souvenir à propos de maman. Mais n'en parlons pas, j'entend encore ces cinq mots qu'elle a prononcé... ? Tu ressemble à un ange. ? je salue donc ma maman que j'aime, même si elle n'est qu'adoptive, je prend l'argent qu'elle me tend et je m'en vais. Bon franchement... Où est ce que je vais aller ? J'ai nul part où aller... Comme d'habitude. Mais je m'en fiche complètement. Je marche tranquillement, ne me préoccupant pas des gens qui me regardent. Je rentre dans la librairie. J'ai envie de lire un bon livre...Je me dirige vers le rayon ? Psychologie ? (ce qui est exceptionnel d'en avoir un.) et un vieil homme qui est à côté de moi, m'observe d'un oeil bienveillant, et me demande alors sans que je ne lui demande quoi que se soit....

Dit moi mon petit... Quel âge as-tu ?

Non mais franchement, ce n'est pas parce que je n'ai pas vingt ans que je n'ai pas le droit de prendre des livres sur la psychologie, en plus sa m'amuse, comme sa j'arrive encore plus à observer les gens... Mais sa phrase ne m'étonne presque pas. C'est habituel chez les vieux de poster ce genre de questions aux jeunes de mon âge.

J'ai 13 ans, monsieur.

Je suis poli de nature. Ma maman biologique et ma maman adoptive m'ont chacune appris qu'il fallait toujours être poli, alors je le suis. Mince alors. Je ne suis pas comme certains d'entre vous qui serait partit en montrant votre beau majeur bien levé. En répliquant que vous observiez que les livres juste

/ 2 \
pour voir. Ou que vous vous êtes trompés de rayon et que vous n'avez pas vu. Moi je répond c'est tout.
Le vieillard m'observe et fait un sourire. Il s'en va sans un mot. Je m'en fiche... Je regarde donc tous les livres. Franchement.... Je reconnais certains auteurs.... Ils sont vraiment nuls. Il n'y a rien du tout d'intéressant ici ! Et mince.... Je m'en vais donc en direction de la sortie, mais... Allez, on va tenter les livres pour les adultes. Genre, un petit thriller pour me remonter le moral, l'amusement et la joie. C'est toujours très attraillant de lire les lignes qui décrivent comment quelqu'un meurt. (Ceci était ironique.) Surtout que c'est très souvent psychologique. Encore plus que ceux du rayon ? psychologie ?.

Je regarde donc tout le rayon, en plus c'est bien, il est désert. Je trouve alors un titre très intéressant, me met donc à lire la quatrième de couverture... Non mais c'est quoi cette histoire ? J'ai déjà lu ce genre de livre ! Sa m'a bien ennuyé d'ailleurs. Je remarque alors que je connais l'auteur, et qu'il écrit toujours le même genre d'histoire... Pathétique. Comme d'habitude. Et puis finalement, je ne trouve rien d'intéressant et achète un stylo bleu parce que le mien à rendu l'âme hier pendant que j'écrivais encore un truc parce que je m'ennuyais... C'est long les vacances. Heureusement, demain c'est la rentrée. Même si je n'aime pas non plus l'école, mais bon, c'est un peu plus motivant que les vacances ou on n'a presque jamais rien à faire.

Alors que je me promène tranquillement dans la rue, j'entend un hurlement, comme hier.... ? Tayo ?... Je me retourne donc, et j'aperçoit alors quelque chose de très bizarre. Une fille entrain de courir un grand sourire au lèvres, avec une espèce de sac un peu bizarre. Elle à des yeux verts, un peu comme l'herbe, mais des cheveux noirs, qui pourtant dégradent vers le marron, comme certaines pierres. Sa peau est blanche, comme moi, mais un tout petit peu plus foncé quand même, sans qu'elle ne soit métis ni rien. Elle s'arrête juste à temps devant moi, pour ne pas me foncer dessus, et m'observe avec ces grands yeux pétillants. Pendant quelques minutes nous restons là à nous observer... Soudain, je décide de m'en aller. Au moment où je tente de me retourner, elle ouvre grand la bouche, et de sa voix qui ressemble à celle de ma maman biologique, elle me dit quatre mots.

Salut ! Quoi de neuf ?

Je suis un peu surpris. Mais je ne le reste pas longtemps, encore quelqu'un qui veut faire son original. Si elle croit vraiment que sa va marcher sur moi, elle se trompe totalement. Mais quelque chose m'étonne quand même... On ne demande pas des nouvelles de quelqu'un quand on le rencontre. On demande son identitée. Et même, on ne demande pas à rencontrer quelqu'un juste en l'aperçevant dans la rue. Je la regarde avec mes yeux bleus, indifférent. J'hésite à lui répondre... Est-ce-qu'elle en vaut vraiment la peine...? Mais... Comme par magie, ma bouche s'ouvre sans que je ne demande rien à mon cerveau, et je prononce alors des mots...

Ce n'est pas une question qu'on pose à quelqu'un qu'on vient de rencontrer.

Elle me regarde encore avec ces petits yeux brillants, pétillants de joie, comme si jamais elle ne vivait des moments de tristesse, et qu'elle croquait la vie à pleine dents. Et, comme si elle n'avait pas écouté ce que je lui avais dit, elle me fait un sourire, encore plus grand que celui qu'elle faisait avant, et me tourne autour, pour finalement après avoir fait un tour, garde son sourire et parle...

Gabrielle. Enchantée de te connaître.

Je ne comprend pas grand chose, et suis à moitié abasourdi. Tout humain normal, même ceux qui veulent faire l'original, aurait répliqué quelque chose, mais cette fille, elle, se présente devant moi, comme ça... En plus, son nom me blesse au plus profond de moi et me ramène quelques souvenirs intérieurs. Mais je préfère ne pas y penser. Je ne lui répond rien. Elle n'a pas à savoir mon prénom, ni mon nom. Et alors... Sans rien me demander, avec toujours son grand sourire, elle me prend la main,

/ 3 \
et puis m'embarque je ne sais où, comme si elle voulait me faire visiter la ville que je connais déjà, elle me montre tous les endroits qu'elle aime, décrit pourquoi elle les aime, et tout sa elle le fait avec un tellement grand sourire que je me dis que cette fille doit vraiment vivre dans un endroit merveilleux. Enfin, moi je m'en fiche un peu. Finalement, après qu'elle m'est montré ces cinqs endroits préférés, dont un que je ne connaissait pas, elle m'entraîne dans une espèce de bar à délice, pour les enfants, un peu comme nous.

Mais je n'aime pas tellement être considéré être comme un enfant, cette différence entre le monde des adultes et le notre... Je ne l'a comprend pas. Les adultes nous disent ? de pas faire si ou pas faire sa ? que ? c'est pour notre bien ? mais parfois il le font juste parce qu'il en ont envie. Ils sont pressés, stressés, et parfois capricieux et impatient. Comme nous. Nous sommes pressés d'être en vacances (pas moi en tout cas, personellement), stressés de savoir si on aura une bonne note à tel contrôle (personellement j'ai rarement des mauvaises notes, et je ne stresse jamais pour ce genre de chose.), capricieux lorsque nous voulons tel jouet, ou nouveau jeu vidéo qui vient de sortir (moi je m'en fiche.) et impatient quand on attend le jour de noël (pareil, je m'en moque totalement.). Mais les adultes nous disent qu'on est trop petit pour comprendre, mais ils oublient un truc, il y a des choses que nous comprenons où ils sont trop grand pour comprendre.

Donc malgré tout les préjugés, et les dires des gens, qu'ils soient adultes ou enfant, nous sommes tous pareil. Je suis peut être la seule exception, il y a même des gens qui disent que je suis lassant, ennuyant, et qu'ils en ont marre que je me fiche de tout. Mes professeurs, surtout mon professeur de français (qui est malgré mon déterminant, une fille), me trouve intéressant car d'après elle je suis un génie. Mais je m'en fiche un peu. Mais revenons donc à Gabrielle. Qui est entrain de commandé une glace à la pistache et vanille. La serveuse me demande ce que je veux, mais l'étrange fille répond à ma place, d'un ton joyeux, comme si elle connaissait déjà mes goûts....

Il prendra une glace fraise et pistache.

Il faut avouer que j'aime bien les fraises, mais beaucoup de gens aiment sa. Mais je n'ai jamais goûté en glace, tout comme pistache. D'ailleurs, je remarque que c'est les deux seuls goûts, avec noix de coco et melon que je n'ai jamais goûté pour les glaces. Parce que c'est toujours mes parents qui m'offrent une glace, alors c'est souvent vanille, ou encore chocolat, ou parfois framboise, même des fois Coca (que je ne trouve pas très bon.)... Mais je laisse faire Gabrielle. Lorsque la serveuse s'en va, elle me sourit, et dit d'un ton joyeux.

La pistache c'est super bon. Dit, je pourrais te manger de la fraise ?

Et là je comprend tout, elle a pris une glace qu'elle aimait bien, alors je comprend aussi que son goût de glace préféré est la pistache et que comme il n'y a pas de glaces trois boules elle ne pouvait pas prendre vanille fraise pistache, alors elle en profite de m'avoir pour avoir les trois goûts qu'elle apprécie. Je soupire un coup, et finit par lâcher.

- Tu es trop gourmande...

Comme si elle avait comprit ce que j'avais voulu dire par là, elle hoche la tête et rit de son rire habituel, que finalement je commence à connaître, vu qu'elle rigole à peu près cinquante pour cent du temps. Je me demande comment elle fait pour être aussi joyeuse... Il y a des humains comme ça. Et puis, la serveuse arrive avec une belle glace correctement présenté, et donne une espèce de bijou à Gabrielle, en disant que c'est cadeau de la maison quand on prend deux glaces deux boules et qu'on est un enfant. Elle lui fait un clin d'oeil. Et je remarque alors une espèce de bracelet vert fluo. Elle fait un grand sourire, le met à son bras, et rit, comme d'habitude.... Cette fille est réellement, vraiment, trop, joyeuse.

/ 4 \
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Morgane

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MessageSujet: Re: Les koalas pondent des oeufs.   Les koalas pondent des oeufs. Icon_minitimeSam 31 Mai - 22:26

C'est assez surprenant mais j'aime beaucoup !!!
Le fait de raconter un extrait d'existance tout à fait banal, c'est amusant et à la fois très intéressant, c'est psychologique ^^

Le prologue aussi, j'adore les livres qui débutent comme ça, les narrateurs/personnage qui se présentent et parlent au lecteur comme si de rien n'était.
(zut jpensais que le héros était un koala XD)

Bon j'ai hâte de savoir la suite ! Et qui est cette fille qui débarque comme ça, et le sens du titre ^^
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MessageSujet: Re: Les koalas pondent des oeufs.   Les koalas pondent des oeufs. Icon_minitimeSam 31 Mai - 23:05

Merci pour ton commentaire, je suis contente que sa te plaise ^0^.

Moi j'adore mon personnage =3 Arthur est tout à fait...... Génial =D.

Le sens du titre ? Je vais te décevoir sûrement, mais..... Je l'ai écris comme ça, au hasard '__'.

Enfait, à la base, ce roman, était une nouvelle que j'avais écrite dans ma tête pendant 30 minutes de trajet de voiture, ensuite, je l'ai pris pou un de mes persos RPGs, et finalement, j'ai décidé de le faire en livre.... Maintenant "Les koalas pondent des oeufs" est parfois l'état de mon cerveau :'D.
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Asahi
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MessageSujet: Re: Les koalas pondent des oeufs.   Les koalas pondent des oeufs. Icon_minitimeJeu 5 Juin - 21:45

A vrai dire, j'aime beaucoup l'idée mais je trouve que c'est très "parlé", les structures, le vocabulaire...

TU pourrais rendre la lecture plus fluide.

Mais, comme le dis Morgane, j'aime beaucoup l'idée que le narrateur parle vraiment à ses lecteurs, ca nous permet un peu de nous approprier le personnage
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MessageSujet: Re: Les koalas pondent des oeufs.   Les koalas pondent des oeufs. Icon_minitimeVen 6 Juin - 22:27

La lecture plus fluide ? On m'a toujours dit qu'elle était très fluide ^^'..... Mais bon, je ne ais comment faire ^^'....

M'enfin, voici, la fin du chapitre 1, donc la page 5, courte, amsi qui fait posé pleins de questions :'D

Finalement, elle mange sa glace. Ce qui m'étonne chez elle, c'est que d'habitude, les gens lèchent les glaces, mais Gabrielle, elle prend un gros morceau et croque dedans avec une extasion incroyable. Enfait, j'ai plus l'impression d'être devant un chien entrain de manger ces croquettes, que devant une humaine comme vous et moi (à moins que vous ne ignoriez que vous êtes donc un être vivant, appellé humain, sa existe des fois.). Ah, elle vient de terminer sa première glace, comme moi, je n'ai toujours pas commencé la mienne, elle me regarde avec des yeux de chiens battus, je goûte quand même un peu à la pistache..... Etrange goût. Je lui donne donc ma très chère glace que je n'aurais pas manger beaucoup, et regarde autour de moi en attendant. Et bien, qu'est ce que c'est intéressant, deux lycéens, je présume, sont entrain de s'embrasser amoureusement, ils viennent de partager leur glace..... Ensuite, il y a un enfant, qui est à peu près plus jeune que moi, qui boit un coca cola..... Tout le monde est heureux tout le monde est content.

- J'ai fini ! Mais je crois que je doit rentrer à la maison.... Oh....

Une espèce d'air triste s'afficha sur elle, je ne saurais décrire l'émotion qu'elle ressenti à ce moment là, mais quand elle s'aperçut que je la regardait, elle fit un énorme sourire, me pris la main, m'entraina jusqu'à l'espèce de caisse, et paya, puis avec toujours sa grande joie, elle m'embarqua une nouvelle fois dans toute la ville. Et puis, finalement, on arriva devant un portail de maison, assez loin de chez moi, elle me regarda avec un grand sourire, et dit joyeusement.

- Je suis une menteuse !

A ce moment là, j'ai tout de même ressenti de la tristesse, en elle. Pourtant, je ne sais pourquoi, je fut touché par celle ci, comme si j'avais pitié. Je crois que je deviens fou. Je la regarde alors rentrer par le portail, et je vois une femme sortir de la maison, elle est très moche. Elle hurle alors après Gabrielle.

- Tu es en retard, sale conne !

Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai envie d'haïr cette personne. Mais je m'en vais discrètement, avec une question dans ma tête.

C'est qui cette femme ?
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MessageSujet: Re: Les koalas pondent des oeufs.   Les koalas pondent des oeufs. Icon_minitimeDim 8 Juin - 1:03

Pardon du double post ><'''''...... Voici la page 6 et 7, qui forment le chapitre 2 (très court ce chapitre, mais il me tenait à coeur *0*)

Chapitre 2 :
Le prince condamné à mourir

Maintenant nous sommes donc le lendemain. C'est intéressant, hein ? Aujourd'hui, c'est la rentrée, après nos chères vacances de la toussaint, parce que j'ai oublié de vous le préciser. C'est pour ça qu'hier il faisait pas très chaud.... Je repense encore à cette femme, j'ai plusieurs hypothèses, mais quelque chose m'intrigue, ce n'est pas dans mes habitudes de me préoccuper de quelqu'un, mais le fait que Gabrielle soit joyeuse, et ses mots..... En quoi m'a t-elle menti ? Je ne comprend pas bien, mais si vous croyez que je vais lui demander, vous vous trompez sur toute la ligne, jamais je ne le ferais, même pas si vous m'acclamez et me léchez les pieds. Et puis, je ne sais même pas si je vais la revoir..... Mais bon, au moins, hier, je ne me suis pas ennuyé, en plus, comme j'avais pas trouvé de bon petit thriller à savourer.....

En attendant, je rentre dans mon école, très petite, qui n'accueille que près de deux cents élèves, vu qu'elle fait maternelle, primaire et collège..... Dans mon collège, enfin dans ma classe, nous ne sommes que 15. Enfin, là je suis en classe, et en maths, matière que je trouve un peu trop facile. Le professeur, qui n'aime pas faire cours, s'ennuie très souvent, alors mes camarades font le bazar, et il ne dit rien..... Ma classe est appellé ォ le zoo サ sauf que moi, je suis le gardien qui ne sert à rien, sur les quinzes élèves, je suis le seul, à ne pas bouger de ma classe.

- Aujourd'hui, nous allons avoir une nouvelle élève.

Je suis persuadée d'une chose, cette nouvelle élève à les cheveux longs et noir, des yeux verts clair, aime les glaces à la pistache, à la vanille et aussi à la fraise, et est particulièrement bizarre. C'est Gabrielle bien sûr, il n'y a pas de doute ! Enfin, je ne sais pas pourquoi, mais j'en suis persuadé....

- Tu peut entrer Gabrielle.....

Bingo, les gens, je vous annonce que je suis un génie, ont me le dit souvent, mais pour une fois je veux bien l'admettre. Tout le monde se lève, sauf moi, et je regarde la même fille qui m'a trimballée dans toute ma ville hier..... Son regard croise le mien, et on reste là, à ce regarder, doucement.... Soudain, le professeur se met à parler.

- Elle se nomme Gabrielle Oeuset. A cause d'un transfert demandé par sa mère, de l'autre école pas loin de nous, elle se joint donc à notre classe.

Pas d'applaudissements, rien, le professeur lui dit d'aller s'asseoir où elle le souhaite, moi je regarde par la fenêtre, en plus je suis tout prêt, alors c'est bien.... La place à côté de moi est toujours libre, l'ancienne personne qui c'était mise à côté de moi à failli pêté son câble parce que je l'embêtait fort bien, surtout psychologiquement, mais c'était très amusant. Et puis, comme je suis le premier de ma classe, donc l'intello, peu de personnes m'aime beaucoup, c'est ça qu'est bien, la paix et la tranquilité parmis ce zoo.... Gabrielle s'asseoit très près de moi, et me lançe un regard très joyeux. Comme elle est particulièrement jolie pour mes camarades de classes mâles, ils la regardent avec des grands yeux presque entrain de baver. Mais le professeur rend les copies du dernier contrôle, et c'est un silence de mort. Ah.... J'ai eut 15..... Il faut dire que j'avais pas tout suivi ce jour là, et puis, j'ai oublié d'écrire la date.... Bah... C'est pas bien grave. Oh, l'une des pimbêches de ma classe vient de lever le doigt en se plaignant qu'elle a eut 8, et qu'elle va se faire ォ décapiter サ par sa mère dès la rentrée. Sa me dérangerais même pas, une idiote en moins. Quoi ? Vous me prenez pour un méchant ? Ou un enfoiré de première ? Je m'en fiche totalement, vous pouvez m'insultez de tout ce que vous voulez, sa ne m'atteint pas, pour vous je ne suis que de l'écriture noir sur un fond blanc. Bref, revenons donc à nos moutons, enfin à notre cher zoo, Gabrielle me regarde toujours autant, elle croit que sa va me gêner ?
/ 6 \

Ou que je vais m'énerver ? Elle se trompe totalement alors, si c'est le cas. Le professeur commençe enfin le cours, je regarde à nouveau par la fenêtre. Et ce fut ainsi pendant toute la journée, sauf en français, parce le professeur, malgré qui, comme je vous l'ai dit précédemment, soit une femme, m'a interrogé..... Finalement, le soir venu, j'entend donc quelques élèves parler entre eux....

- Eh... Gabrielle à laisser son sac d'école ouvert.... Eh mec ! Viens voir ! Y a un carnet très intéressants ! En plus il peut s'ouvrir facilement, pas besoin de clé......!
- Wah ! C'est trop classe, cousin ! Z'y va, on essaye de l'ouvrir ?

C'est là qu'ils me remarquent et rigolent entre eux, m'apportent le carnet, sans que je bouge, et me le mette dans mon sac, bah, tant pis, je rendrais le tout à Gabrielle demain, parce que j'ai bien envie de voir son expression.....Bref, je rentre donc chez moi, après avoir fait mes devoirs en études..... Et c'est là que je prend le carnet de Gabrielle, et je l'ouvre donc, et là, d'une écriture magnifique, je réussit à lire ces quelques mots ォ Le prince condamné à mourir サ, je continue donc ma lecture......

Il était une fois, dans un royaume où vivait un prince arrogant et méchant, qui n'aimait personne, et que tout le monde aimait. La raison de ce haissement du prince, venait du fait, que lorsqu'il cherchait ces prétendantes, une jeune paysanne se présenta à lui, et lui annonça humblement, qu'il était condamné à mourir. Alors, le jeune dauphin, qui avant était si gentil et joyeux, devint très méchant et comme je vous l'ai dit, haissait tout le monde. Il ne cherchait plus de prétendantes du royaume, mangeait constamment équilibré, tenait sa ligne, était entouré de gardes du corps, et chaque jour, une douzaine de médecins spécialisés de toutes les sortes, venaient l'examiner, pour voir s'il n'avait rien. Mais un jour, le roi en eut marre, et fit revenir des futures épouses. La première était blonde, comme le blé, et parlait d'une manière très snob, elle s'adressa au prince, comme s'il n'était qu'une source d'argent, et celui ci devient violent, et la claqua. Elle s'enfuit donc en courant. La deuxième était rousse, comme le soleil couchant, elle parla avec un bonbon dans la bouche, et était énorme, elle dit alors au prince, que s'il était condamné à mourir, c'était parce qu'il était trop arrogant, le dauphin la renvoya à coup de balai. Et ce fut donc ainsi pour tous le reste des prétendantes, mais... Il n'en restait plus qu'une, elle n'était pas très belle, ni très moche, juste assez pour surprendre le prince, elle se présenta donc, et de sa plus belle voix, se mit à parler.

- Messire, savez vous pourquoi vous êtes condamné à mourir ?

L'arrogant fut fort étonné par cette question, et répondit, que c'était parce qu'il était sûrement malade, à cause d'une malédiction lançée par cette paysanne que l'on avait brûlée le lendemain. La jeune fille ria un bon coup, fit un sourire, et continua à parler....

- Non, parce que chaque être humain est condamné à mourir.

Le prince ne sut que répondre, alors la fille expliqua, que un humain nait, et meurt bien un jour, et que tout le monde est bel et bien condamné un jour, à rendre la vie. Elle l'expliqua tellement bien, que le prince tomba fou amoureux d'elle, et comme elle avait brisée en quelque sorte l'enchantement, il se maria avec elle, heureux. Ils vécurent longtemps, très longtemps, et eurent beaucoup de générations suivantes.

C'était une étrange histoire, mais... J'ignore toujours autant pourquoi, je la trouvais très jolie. Mais, Gabrielle, et la jeune fille avait raison, chaque être vivant est condamné à mourir, que se soit de n'importe quelle manière..... De mort naturelle, de maladie, de suicide (que je trouve stupide), d'accident de voiture.... Oui..... Je tourna alors la page, et put lire quelques mots griffonés sur le papier ォ But, love is eye of the life サ. Pour les très nuls en anglais, cela signifie ォ Mais, l'amour est l'oeil de la vie サ. Il y avait aussi une autre phrase ォ Le bonheur de ceux qui croient サ.... Je ferma le carnet et tenta de m'endormir.....
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Morgane

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MessageSujet: Re: Les koalas pondent des oeufs.   Les koalas pondent des oeufs. Icon_minitimeDim 8 Juin - 21:09

Pour reprendre Asahi, je trouve aussi que c'est beaucoup du langage "parlé". D'un certain côté, pour ce genre d'histoire, ça donne un point de vue intéressant du narrateur, son avis quant à ce qu'il vit.
Par contre, il y a effectivement certaines formules qui sont un peu trop familières, qui seraient à améliorer, enfin rien de bien méchant.

A part ça, j'aime toujours autant, le narrateur a son caractère propre qui est bien fait.

J'ai adoré le petit conte que Gabrielle a écrit sur son cahier, c'est très joli et très ...instructif !
Tu l'as inventé toute seule ?? Je ne doute pas de ton inventivité mais il est vraiment super ^^
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MessageSujet: Re: Les koalas pondent des oeufs.   Les koalas pondent des oeufs. Icon_minitimeMer 11 Juin - 22:39

Des formules un peu familières hein.... ^^'....

Le conte je l'ai inventée toute seule ! Dans ma tête O___O

Je suis contente que Arthur es tdes fans !
Par contre, j'ai changé le système des pages, donc c'est un peu déréglé, mais maintenant les pages se mettent automatiquement ^^

Chapitre 3
L'équivalence

Finalement, j'ai réussi à m'endormir très facilement, je ne sais pas pourquoi je vous raconte sa, mais je vous le dit, parce que j'ai envie, vous avez rien à dire ! Donc, je me prépare pour partir à l'école, encore une fois, et je range le carnet dans mon sac, avec un petit soupir d'exaspération, je vais certainement me prendre une claque par Gabrielle, bah, tant pis, je m'en fiche un peu en vérité.... De toutes façons, je veux tester sa réaction, mais je n'aurais pensé qu'elle écrive des trucs comme ça.... J'arrive donc à l'école, et là tout de suite, nous commençons par français, avec la seule prof' qui m'aime à peu près. Un des garçons qui m'avaient donnés le carnet, lève le doigt stupidement, je devine déjà ce qu'il va dire....

- Mme, je peut....

Mais, il n'eut rien le temps de faire, de dire, d'avouer, que Gabrielle avec un grand sourire, toujours aussi proche de moi, pris la parole.

- Messire, savez vous pourquoi vous êtes condamné à mourir ?

Elle le savait, que j'avais lu son carnet, j'ignore comment, mais elle le savait, mais il fallait dire que je l'avais reposer sur ma table, alors... Mais ce qui m'étonnais le plus, c'était sa façon d'agir, de réciter l'une des paroles de son texte.... Tout le monde dans la classe la regardait, avec un grand étonnement, une énorme stupeur, le professeur souriait d'un sourire enfantin. Le garçon allait dire quelque chose, mais je me décidais de répondre à Gabrielle....

- Parce que tout le monde est condamné à mourir.

Elle me parlait à moi, alors je lui avait répondu. Enfin, je présume quelle s'était adressée à moi, mais d'une certaine manière, je devrais m'en moquer complètement, mais je trouvais ce jeu tellement amusant.... Elle se retourna vers moi, et me fit un sourire encore plus grand, puis se retouna vers les autres élèves qui nous regardaient sans savoir que dire... Et finalement, répondit encore une fois.

- But, love is eye of the life.

Je reconnut alors les paroles griffonées derrière la page de son conte assez réaliste.... Je savais également ce qu'il fallait répondre, mais j'attendais quelques secondes, pour laissez le supsens, au animaux du zoo de ma classe. La prof' de français, ne disait rien, comme si elle nous laissait faire.... C'était à moi.

- Le bonheur de ceux qui croient.

Gabrielle leva les yeux, je savait que le jeu n'était pas fini, car elle souriait encore, et je voyais bien qu'elle allait encore répondre, bizarrement, j'attendais impatiemment sa réponse, pour savoir, quel genre de phrase elle allait encore me sortir...

- L'iris violet.

Je ne compris pas immédiatement, que voulait-elle dire par là ? Qu'est ce qu'une fleur comme l'iris violet venait faire là ? Une minute.... Le lys est le signe de la royauté dans le langage des fleur, la rose celui de l'amour.... Oh, bien joué..... Avec un regard plongé dans la fenêtre, je répondis donc....

- Le langage des fleurs.

Elle fit un sourire, et regarda sa table, comme pour dire que le jeu était fini.... Quelle étrange discussion tout de même, maintenant que je réfléchis, nous avons à peu près raconter n'importe quoi.... Tout le monde nous regardent, et après une minute d'attente, se mettent à rire stupidement, et le garçon qui voulait dire quelque chose relève la main, mais trop tard mon grand, je me lève donc après lui... Prend le carnet de Gabrielle, et lui redonne. Elle me fait un grand sourire. Je retourne à ma place, et la prof' continue son cours, sans rien dire, les autres élèves rigolent entre eux, et j'entend l'une de leur conversations, depuis ma place....

- Pfff.... Arthur il est vraiment trop stupide (en plus vulgaire)... C'est qu'un intello ! Je comprend pas pourquoi Gabrielle y a fait attention, et puis, il est complètement débile, il a raconté n'importe quoi !
- Ouais, et Gabrielle l'a encouragée, alors qu'elle est si jolie !

Je suis le détesté de la classe, si ont peut dire sa.... Mais vous savez les gens, je m'en fiche complètement, des remarques de ces stupides animaux de ma classe. Quoi ? Vous me trouvez culotté de parler ainsi de mes camarades ? Mais vous les verriez ! Ils y en a qui papotent comme des perroquets, d'autre qui font les ânes, et puis aussi, certains meuglent comme des vaches, et il y a aussi ceux qui se prennent pour des chats, et il y en a même qui rugissent parfois comme des lions, et certains sont fiers et cracheurs comme des lamas.... Et ils sont tous, des singes ! Alors après, vous me dites que je suis culotté ? C'est normal, moi, je me conduis comme un humain !

Finalement, le cours passe bien vite, et puis finalement, on à cours de SVT... Le professeur à dit que cette année on apprendra la reproduction humaine, je crois que ma classe va devenir encore pire qu'un zoo pour cette séance là.... Ce ne seront que des gros cochons, humains, et stupides, qui s'exciterons, pour une petite image de spermatozoïde... Moi je crois que je vais dormir pendant ce temps là, car l'anatomie du vagin des femmes, je le connais déjà, je l'ai déjà regardé dans une encyclopédie un jour. Mais là, nous sommes dans la séance de la géologie, ou on nous parle des pierres, ce qui me rappelle tellement maman..... Elle disait toujours, que les pierres, elles sont plus douces que les hommes qui n'ont pas de coeur, car si un artichaut à du coeur, alors pourquoi pas les cailloux.... Je l'ai toujours admirée pour cela. Finalement, le cours passe vite, tant mieux. Gabrielle n'a pas parlé du tout pendant celui ci, mais je m'en fiche un peu de toutes façon.

Ensuite, on a la récréation, mais j'aime pas tellement cette période. Je m'asseoit donc quelque part, et j'attend que les quinze minutes passent, mais Gabrielle s'approche vers moi, me regarde avec ces grands yeux verts, me fait un grand sourire, et je lui dit alors.

- Si toi tu es une menteuse, moi je suis un voleur dans ce cas.

Elle se met à rire, comme si elle savait que ce n'était pas moi qui lui avait volé son carnet..... Et puis, avec ces yeux scintillants, ou presque, elle me répond joyeusement...

- Nous sommes équivalent au moins !

Je me demande vraiment si un jour j'arriverais à prévoir l'une de ses phrases. Cette fille est étonamment incompéhensible, mais à observer, c'est très intéressant. Finalement, l'heure de la fin de la récré sonne, on rentre donc en cours de maths..... Et le professeur rend le contrôle d'hier (parce que oui, on a eut un autre contrôle hier, ce prof' aime bien nous en donner ! Il à même précisé que c'était pour souhaiter la bienvenue à Gabrielle... Bah... Moi sa ne m'a pas dérangé.) Et soudainement, quelqu'un de ma classe, faisant partie du groupe des perroquets, s'approche de cette fille si étrange, qui est donc tout près de moi, et s'exclame, après avoir vu ma note et la sienne....

- Arthur et Gabrielle ont qu'un point de différence ! Wouaw ! 18.5 pour Gabrielle, et 19.5 pour l'intello !

Tout le monde est stupéfié, et félicite Gabrielle, qu'elle est très intelligente, et que c'est excellent... Ce n'est pas équivalent, je reviens donc à la phrase de Gabrielle, ce n'est pas équivalent.... Du tout.... Je ne suis pas jaloux, ni triste, je fais juste la remarque, moi ils ne m'ont jamais félicité parce que j'avais une bonne note, même depuis le début de la 6ème... Ils m'ont toujours haïs, traité d'intello, de surdoué, même un jour, de monstre. Sa ne m'a jamais vraiment blessé, vu que je m'en fiche totalement d'eux, mais.... Ce n'est pas équivalent quand même. Le cours reprend et quelques minutes après, alors que le professeur explique quelque chose Gabrielle se lève, s'approche de moi, me fait toujours son éternel sourire plein de chaleur, et me dit....

- Demain, je t'attend.

Je n'ai pas tout de suite compris ou elle allait m'attendre, mais finalement, je me suis dit que sa allait être là où on c'est rencontré... Mais ce qui m'étonne le plus, c'est pourquoi elle me l'a proposé..... Maintenant en plein cours ! Le professeur lui enlève donc un point de comportement, elle fait un sourire en direction de celui ci, et va se rasseoir... J'ai encore une question.....

Pourquoi Gabrielle à t-elle fait sa ?
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MessageSujet: Re: Les koalas pondent des oeufs.   Les koalas pondent des oeufs. Icon_minitimeDim 15 Juin - 20:22

Et voici le chapitre 4 ^^'...

Chapitre 4
Les gens heureux.

Le lendemain, après avoir prévenu maman, dès que l'après midi commença, pris mon éternel sac, avec mon éternel caillou, me refaisant souvent penser à ma vraie maman, et je m'en vais. Vous pouvez vous demander comment je vais faire vu que Gabrielle ne m'as pas dit l'heure de rendez vous, mais je m'en fiche. Qu'elle soit là ou non, j'irais à notre lieu de rencontre, que vous le vouliez ou non. Et puis déjà hein, vous vous pouvez pas bougez, vous n'êtes que des lecteurs. J'espère que vous me détestez, avoir trop de fans c'est très embêtant quand on est comme moi.... Et ne me trouvez surtout pas mignon, de toutes façons je m'en fiche complètement. Bref, je suis arrivé donc au point de rendez vous, il n'y a toujours personne, bah, tant pis.... Mais soudain....

- ARTHUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUR

Il n'y a pas plus discret que cette fille. Elle me saute littéralement dessus, comme si on venait une nouvelle fois de ce rencontrer, mais ne me demande pas de mes nouvelles, bah... Sa ne m'étonne presque pas, juste un peu... Gabrielle me regarde avec ces grands yeux pétillants, avec toujours un énorme sourire.... Elle a attaché ces cheveux, elle est jolie comme ça, je trouve personnellement. Et puis, finalement, comme il y a deux jours, elle me prend la main, et m'embarque une nouvelle fois dans la ville, je crois que je vais commencer à la connaître maintenant.... Soudain, on arrive devant un bâtiment où je ne vais pas bien souvent, parce que je n'en vois pas l'utilité, vu qu'il y a déjà des librairies, deux, précisément, mais nous nous trouvons face à la bibliothèque municipale..... Sa doit faire des années que je n'y suis pas retourné.

On rentre alors dedans, Gabrielle me tiens toujours pas la main, elle est très chaude d'ailleurs, pourtant il fait super froid dehors. Mais sa arrive... Je regarde autour de moi, des dizaines d'étagères de livres, tous correctements rangés, quelques bibliothécaires, environ deux ou trois... Pleins de gens entrain de feuilleter quelques livres, des tables pour mieux lire, il y a même un coin lecture pour les enfants.... Là où ma maman biologique..... Bref, je reconnais peu à peu l'ancien endroit où j'allais assez souvent avec mes parents. Les vrais, pas les adoptifs. En remarquant que je ne suis pas étonné, Gabrielle, me lâche la main et me dit alors...

- Tu veux lire, quelque chose ?

Je n'avais pas de livres très précis à lire, à part un bon petit thriller. Mais, je n'ai pas le temps de répondre, que Gabrielle me prend la main et m'emmène dans le coin des livres pour enfants, me sort un gros livre de contes, et choisis « La belle au bois dormant », elle commence sans rien me demander, sa lecture, sur le tapis des enfants, je la regarde, de haut, je suis debout.... Et elle, sans rien dire d'autre, sans me proposer de m'asseoir, continue son histoire, elle en est à la scène ou la princesse, cette idiote de futur-souveraine, se pique le doigt sur un rouet, mais quelle stupiditée cette fille. Je suis sûr que ces parents l'avaient déjà prévenus pourtant !

Soudain, je suis à moitié ébahi, deux petites filles s'approchent de ma camarade de classe qui lis alors toujours autant son histoire, s'asseoit près d'elle, et lui font un grand sourire, en écoutant sagement son histoire... Sa me rappelle énormément ma maman biologique... Elle, qui prenait toujours un livre de contes, et me lisait toujours autant un petit conte, j'avais beau être un garçon, j'aimais toujours les contes, je trouvais sa tellement mieux que le monde humain normal, avec les guerres, et les massacres, et tout le reste.... Elle était toujours là, assis sur ce tapis, avec moi à côté d'elle, lisait toujours en mettant du ton, en étant dans l'histoire, elle arrivait à faire la voix de la gentille princesse, celle de la vieille sorcière, ou encore de l'ogre, et même du méchant loup.... Papa venait souvent la rejoindre, et me grattait la tête en souriant....

- Arthur, à toi de raconter un conte !

C'était Gabrielle qui me faisait un grand sourire, qui avait prononcer ces mots.... Alors, j'ignore encore pourquoi, je pris son livre, alla le ranger et choisis mon conte parmis les autres livres, celui que j'avais toujours aimé, que j'avais toujours trouvé tellement réel, et pourtant, tellement imaginaire..... Alice au pays des merveilles, de Lewis Caroll. Enfait, je me demande même pourquoi j'ai envie de raconter ce conte, mais.... J'ai le droit non ? Le premier qui fait une remarque stupide, est stupide, d'accord ? Je commence donc à raconter l'histoire d'Alice, qui grandissait et rétrécissait, toujours, rencontrant divers personnages lui donnant chacun un peu une leçon de la vie.... Et puis, je remarquais autour de moi, divers enfants venait.... Il s'attroupaient tous autour de moi, et m'écoutais raconter le conte, heureux ou ébahis..... Finalement, quelques minutes après, quand j'eut finit de raconter l'histoire, les bambins m'applaudirent très fort, avec leurs parents... Gabrielle, elle, me regardait toujours avec un grand sourire.....

Ensuite, quand je reposa le livre dans la bibliothèque, l'une des bibliothécaires, me félicita pour mon conte, et me demanda comment je réussissait autant à mettre le ton... Je ne répondit rien, et ne l'a regardait qu'avec un regard, dirons nous, froid. Je n'y peut rien, elle est trop banal pour moi. Ma camarade de classe, me reprend par la main et m'emmène dans les livres pour les grands ou les adolescents, voire même les enfants elle me montre divers auteurs, certains que je connais, d'autre dont j'ignore l'existence, elle me parle surtout de Marc Levy, dont je ne connais aucunement pas l'identitée, et d'un livre qui n'est pas de lui, mais qu'elle à bien apprécié, d'un autre auteur... Le passage que sa s'appelle, je crois, elle me raconte toujours autant qu'un jour elle a découvert un autre livre du même auteur sans s'en rendre compte.... Elle raconte tout sa avec son éternel sourire, qui ne disparaît presque jamais....

Ensuite, elle prend un livre, et s'asseoit à une table, en me disant de son toujours aussi plus beau sourire....

- Je n'ai jamais lu la fin !

Moi je me décide donc de m'attaquer à un livre de l'auteur qu'elle adore, et je commence finalement à être plongé dedans, même s'il n'y a pas de meurtres sanglants, même si sa parle d'une fille qui est infirmière et qui à un accident de voiture.... Le héros de l'histoire s'appelle comme moi , en plus. Arthur. Enfin, ce n'est pas mon vrai nom, que je vous ai dit, mais je m'en fiche. Si vous voulez mon véritable prénom, allez demandez à ma maman adoptive, mon dossier médical ! Une fois que Gabrielle à finit de lire la fin de son livre, elle me laisse demander à la bibliothécaire l'emprunt du livre que je lisais donc, et on s'en va, après que j'ai rangé celui ci dans mon espèce de sac, enfin, elle m'embarque une nouvelle fois, je ne sais où, ou alors je vais peut être sûrement bientôt le savoir...

On marche donc, elle me tient toujours la main, ces cheveux volant un peu à cause du vent.... Des fois elle se retourne vers moi et me regarde avec un grand sourire, elle avance toujours un peu plus vite, et là, je reconnais un endroit que je connais bien..... Mais sa fait également très longtemps où je n'y suis pas allé. De la verdure, des enfant qui se courent après, un petit chemin en gravier, des personnes âgés entrain de raconter leur vie sur un banc, des futurs joueurs de foot entrain de faire des figures avec leur ballons, et toutes sortes d'autres personnes diverses, le parc de ma ville. Gabrielle continue de m'entrainer et m'emmène dans l'aire de jeu du parc... Divers jeux pour tous les enfants... Une balançoire, un pneu balançoire, des balancelles, une forteresse avec des ficelles pour monter dessus, et un toboggan pour descendre, un tourniquet, des animaux à ressort, et même une petite cabane.... Maman me faisait souvent tourné sur le tourniquet, elle adorait faire sa, et avec papa, je faisait le toboggan.... Tous les enfants était si heureux, avec un grand sourire ils s'amusaient comme des fous....

Gabrielle alla s'asseoit sur la balançoire qui était libre, et commençait doucement à se balançer, tous les enfants la regardait, certains était content pour elle, d'autres se moquaient, mais ma camarade, elle, riait de bon coeur, comme si elle était libre.... Elle respirait à pleins poumons, baissait la tête quand elle était en arrière, ces cheveux attachés volants tout de même, elle souriait de toutes ses dents, blanches, pures. Certains parents la trouvaient stupides, qu'elle était trop vieille pour jouer à sa, alors, moi qui était à côté de deux personnes qui riaient à propos d'elle, je me retourna vers eux, me leva, alla sur l'éléphant à ressort, et commença à en faire. Me balançant d'avant en arrière, pour prouver à ces gens qu'ils sont stupides, qu'il n'y a pas d'âge pour sa... J'ai le droit de faire ce que je veux. Le vent me soufflait dessus quand j'allais en arrière, et quand je revenais en avant, il me bouchait la vue à cause de mes cheveux.... Heureusement que je suis un peu trop petit pour mon âge, sinon j'aurais eut mal au genoux.... Gabrielle se met alors à chanter, doucement... Un air, joyeux.... Mais, sa me rappelle tellement ma maman que je m'arrête brusquement.... Elle saute alors de la balançoire, et me fait un énorme sourire, attend que je m'enlève du pauvre éléphant, et m'embarque au tourniquet, ou deux enfants tournent avec leurs parents, elle se met assise à une place, et sans savoir pourquoi, je la suis.

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MessageSujet: Re: Les koalas pondent des oeufs.   Les koalas pondent des oeufs. Icon_minitimeDim 15 Juin - 20:22

Et alors, la maman d'un des enfants, se met alors à nous tourner, je m'accroche bien correctement, pour ne pas tomber, et Gabrielle, suivit des deux mômes, rient, hurlent, font des énormes sourires, moi je ne les comprend pas... Pourquoi sourire alors que dans quelques minutes on va avoir envie de vomir....? Avant, je souriais à pleine dents, mais j'étais jeune et naïf.... Ma camarade, elle, pourtant, à l'air de souffrir, et elle sourit quand même, je ne comprend pas bien.... Comme elle est à côté de moi, je sens percevoir quelques mots, de sa part...

- Je jouais souvent à sa, avec ma jumelle.

Comment ? Avec sa jumelle...? Mais alors.... En réalité, Gabrielle à une soeur jumelle ? Alors pourquoi je ne l'ai jamais vu ? Et cet utilisation du passé... Non, je préfère ne pas lui demander, je sais que je suis un enfoiré, mais je n'aime pas parler de la mort des gens, ou peut être est-elle dans le coma, ou tout autre chose...? Et puis zut, pourquoi je m'en préoccupe, ce n'est franchement pas mon genre ! Soudain, le manège s'arrête, pour laisser rejoindre deux nouvelles personnes, mais ce qui est étrange, c'est qu'il y a un adulte homme, et sa femme, sûrement, et ils s'amusent, pendant que les autres nous font tourner... Et si Gabrielle, avait fait sa pour... Me faire sourire ? Le tourniquet recommence à tourner, de plus en plus vite, les hurlements commencent, tout le monde rigolent, et moi, depuis sept ans... Mes lèvres penchent vers le haut. Quelques minutes après, le manège s'arrête. Finalement, c'était lassant, ouais, tourner, c'est nul, et mon sourire n'a duré qu'une seconde, parce qu'après, je me suis rendu compte, que... M'enfin bref. Cher lecteur, je ne peut pas changer en trois jours, ceci serait irréaliste, alors zut. Donc, voilà, bref. Gabrielle, descend alors du tourniquet, je fais comme elle, et je vais me rasseoir près du banc, reprendre un peu mes esprits. Tandis que ma camarade s'amuse au toboggan, discute avec des enfants... Les minutes passent, et je me souviens du passé... Soudain, sur ma main gelé qui ne bougeait plus, j'en sens une toute chaude, et qui me fait me lever... Gabrielle m'emmène une nouvelle fois ailleurs. Et c'est là, que je reconnais le bar à délices où on a été quand je l'ai rencontrée... On rentre à nouveau dedans, et une serveuse arrive après que l'on se soit installé.... La jeune fille en face de moi, prend alors une glace vanille pistache, et avec un sourire, me laisse, pour une fois commandé.... Avec un ton indifférent, je répond.

- Noix de coco... Pistache

Je veux juste goûter à la noix de coco, voir quel goût sa peu avoir. Et pour la pistache, c'est pour ma très chère « amie ». Gabrielle me regarde avec un grand sourire, heureuse sûrement, et puis là voilà qui se met à parler...

- Merci, la noix de coco, j'aime aussi beaucoup !

Gabrielle à donc deviner que ma commande était pour elle. Mais, je veux lui faire un peu plaisir, pour une raison ou une autre, et puis, j'aime bien sa façon de manger des glaces, elle croque dedans. Elle joue en ce moment avec ces doigts. Elle me regarde, et avec toujours son sourire me dit.

- T'es mignon quand tu souris ! Tu ress..

Elle n'eut pas le temps de terminer sa phrase, que les glaces que nous avions commandées, arrivèrent, une fois que la serveuse eut tourné le dos après avoir donné un autre bracelet comme l'autre fois, mais bleu fluo ce coup ci, à ma camarade, celle ci sauta sur sa glace et la commença avec une vitesse folle. Je goûta à la noix de coco, très bon goût. Je prenais donc avec ma cuillère la boule de glace, et la mettait dans ma bouche puis avalait, tandis que Gabrielle, elle, prenait un gros bout, et le mangeait comme si elle mangeait n'importe quel aliment qui se mâche. Quand elle eut finit sa très chère glace, et moi ma boule, je lui donna la partie pistache, qu'elle mangea avec une grande extase.

Pendant ce temps là, je regardait ailleurs, une vieille dame, était accompagné de son mari, aussi vieux qu'elle, et ils riaient ensembles en buvant un petit café dans une tasse... De l'autre côté, une maman et ces trois enfants mangeaient chacun respectivement, une glace comme celle de Gabrielle et moi... Et puis, il y avait ces deux adolescents, collégiens, d'à peu près mon âge, qui s'embrassaient et s'amusaient... Une petite fille qui buvait son orangina à côté d'un groupe de personne qui se retrouvait ensembles... Cette fois ci, encore une fois, tout le monde était heureux et content.... Cela fait si longtemps, que je n'avais pas souris, depuis cet accident de voiture, depuis ce coup de téléphone... Et aussi, depuis les derniers mots de maman...Avant, elle disait qu'elle serait toujours là pour me protéger, et moi, je n'ai pas pu la sauver de cet accident, moi l'intello, le surdoué....

- C'est super bon la pistache ! Alors j'ai décidé une chose !

Je me retourne vers Gabrielle, elle est toujours là avec son éternel sourire, comme maman. Je me demande encore ce qu'elle va me dire, mais je n'ai pas hâte de le savoir, je m'en fiche un peu...

- Chaque jour où on aura pas école, sauf le week-end... On mangera une glace en fin de journée !

Gabrielle, n'a pas l'air d'être très aimée à la maison, et pourtant... Elle à l'air d'avoir de l'argent sur elle, comme elle veux. Un euro une glace deux boules. Chaque semaine, mais en double ?

- Tu fera comment pour l'argent ?

Il fallait bien que je demande, sa ne me regarde pas tellement, mais bon.... Avec toujours son grand sourire, elle me regarde, et d'un air mystérieux, ou joyeux, j'hésite, elle me répond.

- Sa ira !

Sa m'étonne un peu tout de même.... Elle m'embarque donc à la caisse, paye, et on s'en va une nouvelle fois... Elle m'emmène donc encore dans la ville, et je sais parfaitement à l'endroit où on va aller... Nous arrivons quelques minutes plus tard, devant un portail de maison... Sa maison, la maison de Gabrielle. Elle se retourne alors vers moi, comme l'autre fois, et de sa plus belle voix joyeuse, elle me dit.

- L'autre fois, c'était ma mère !

Toujours pourtant, avec ce ton si triste... Comment fait-elle pour être aussi joyeuse, avec une mère pareille ? A moins, que son père ne soit plus gentil ? Et pourquoi je m'en préoccupe ! Ce ne sont pas mes affaires ! Rah... Soudain, alors qu'elle rentre par le portail, quelqu'un sort, un homme, moche aussi, enfin surtout obèse...

- Le chien ! Les corvées t'attendent !

Cet homme...? C'est son père ? Euh... Ouais, mais non..... Je rentre donc à la maison, en me demandant une nouvelle fois quelque chose....

Comment Gabrielle fait elle pour payer les glaces avec une famille pareille ?
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Morgane

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MessageSujet: Re: Les koalas pondent des oeufs.   Les koalas pondent des oeufs. Icon_minitimeLun 16 Juin - 19:51

J'adore toujours autant, c'est super (tu écris vite en plus ^^), cette fille est décidemment très intrigante ...

La suite, la suite !!!
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MessageSujet: Re: Les koalas pondent des oeufs.   Les koalas pondent des oeufs. Icon_minitimeJeu 19 Juin - 22:28

Merci pour ce commentaire si gentil ^^ Voici la suite :

Chapitre 5
Je hais les gens.

Le lendemain, nous reprenions donc les cours, comme d'habitude... Aujourd'hui, c'est le jour du cours de technologie, c'est le professeur de français qui le fait, en même temps que les cours de français dans ma classe. Je me demande encore pour Gabrielle, si ces deux parents la maltraitent, comment fait elle pour trouver de l'argent aussi facilement ? Pendant que je réfléchis à sa dans la voiture, nous arrivons à l'école, je descend donc, et dit au revoir à ma maman. J'arrive donc devant le portail du collège, où pleins d'élèves se précipitent pour y aller.

Après être rentré dans ma classe, je remarque que Gabrielle est toujours aussi souriante qu'hier, qu'avant hier etc... Je me demande vraiment toujours comment elle fait. Mais dans un sens, je me demande même pourquoi je m'en préoccupe ? Ces temps ci, je crois que cette fille boulverse un peu mes pensées. Mais vous pouvez me comprendre, elle est si spéciale, si... Mystérieuse, si je puis dire. Et qu'a-t-elle voulu me dire hier ? Le professeur de maths annonce alors quelque chose, qui ne m'intéresse aucunement pas.

- Cette année, il y aura un voyage en Italie.

Tous le monde fait un gros « oh » de stupéfaction, sauf Gabrielle et moi. Et c'est là que le chahut monte, et que le zoo commence à s'animer. Mais quels idiots... Le professeur demande le calme, et finit par expliquer tous les endroits qu'il y aura sûrement à visiter. Et puis au final, il distribue une feuille pour savoir si on participera ou non à ce voyage, sachant qu'il coûtera assez cher. Dans les deux cents euros, ou trois cents.... Je prend la feuille, la regarde. Je n'irais pas. Les voyages c'est souvent ennuyeux... Et puis il y aura toutes les autres classes, alors....

Et puis finalement, le cours de maths se passe bien rapidement, vu qu'on a en réalité fait, que parler du voyage, sa faisait « Le pape » par ci, et puis « Venise » par là... Ces gens sont vraiment stupides... Finalement le professeur nous a aussi donné quatre exercices, comme punition collective à cause d'une camarade qui à hurlé si fort que à trouer les tympans du pauvre professeur... Les miens aussi on souffert, et ceux des autres classes également... L'espèce de criarde fut collée. Merci à madame l'araignée qui passait dans la classe, tranquillement, qui était trop grosse et qui est monté sur la table de cette fille...

Ensuite, quand le cours de maths fut finit... Nous avions français. Gabrielle était heureuse, j'ai donc découvert qu'elle aimait cette matière. Enfin, vous me diriez, elle est joyeuse tout le temps, mais j'ignore pourquoi, c'était une joie différente. Le professeur, arrive. Aujourd'hui elle a attaché ces longs cheveux bruns en couettes. Sa lui va plutôt bien, vu son caractère. Bref, avec un grand sourire émerveillé, ressemblant à celui de la fille qui est tout près de moi, elle annonce, avec une grande joie, le programme... Alors, en français, pour la fête de noël... On va faire des pièces de théâtre... D'accord... Mais non. Je n'y participerais pas. Gabrielle lève la main et propose alors.

- Je veux être la scénariste !

Tout le monde dans la classe accepte avec une grande joie la proposition de mon « amie ». Je me demande quel genre de script elle va nous préparer... Elle me sourit, me fait un clin d'oeil... Je comprend, le prince condamné à mourir hein... Le professeur accepte, et lui demande si elle à déjà une idée en tête pour l'histoire..... Gabrielle en souriant, hoche la tête. Je m'en doutais... Et Mme Gauthier (la prof' hein, pour pas vous perdre.) accepte. Ma camarade commence alors à raconter.

- C'est l'histoire d'un prince, joyeux et heureux qui...

Oui, c'est bien l'histoire du prince condamné à mourir. Quand elle eut finit de raconter sa très chère histoire, tout le monde nous regardait avec des yeux ébahis. Les animaux du zoo sont intelligents finalement, ils ont fait le rapport avec sa et avec l'histoire de l'autre coup, quand on a parlé entre nous avec Gabrielle... Le professeur sourit, et accepte l'histoire de ma camarade, pour le scénario de la pièce. Elle se met donc à choisir les « acteur ».... Au tableau, elle écrit le nom de chacun. Je regarde par la fenêtre, où je remarque qu'il y a un nuage en forme de couronne, c'est joli. Oh... Un nuage train... Ah, un oiseau vient d'emmener toute sa troupe... Une voiture qui coûte cher, je crois, vient de passer sur la route...

Soudain, des hurlements stridents fusent de toute la classe... Je regarde le tableau, et lit. Les acteurs... Alors... Le prince.... Tiens, c'est moi... Oh, non.... Je vais être obligé de participer. Alors... Le roi, ah c'est lui. Bah, sa lui va bien. Les deux folles... La fille qu'a hurlé tout à l'heure, et celle qu'à eut un 8 en maths l'autre coup. Et d'autres gens en acteurs... La fille qui sauve le prince... Ma prof' est vraiment.... Sur le tableau, noir, d'une couleur blanche, à la craie, c'était écrit un prénom. Gabrielle. Je compris alors leurs hurlements. L'un deux cria alors encore plus fort.

- Madame ! Pourquoi c'est Arthur le prince ? Il aime rien, alors il va mal jouer !

Et toute la classe affirma. Sauf ma soi-disante princesse. Franchement, je crois vraiment que je vais perdre le rôle. Mais finalement, le professeur ne décroche pas de son idée. Et bien... Je vais devoir jouer celui qui est condamné à mourir, s'il le faut. Gabrielle commença alors à écrire entièrement le script pendant tout le français, mais la sonnerie de la classe retentissa. Nous avions récréation. Je sortis donc de la classe, quand trois voire cinq personnes de ma classe, fille et garçon m'attrapèrent, m'emmenèrent dehors, me plaquèrent contre le mur, et m'enguirlandèrent, avec toujours leurs phrases débiles.

- Pourquoi t'es le prince ? T'es trop laid !
- Et pourquoi c'est Gabrielle la princesse ? Sa aurait du être moi ! Je suis sûre que c'est de ta faute !
- En plus t'es tellement con (pardon de la vulgarité), que t'y arrivera pas ! Connard (encore désolé, je m'exprime du mieux que je peux, mais pas eux)

L'une des filles, me mis une claque, une autre, m'en mis une également, les autres me tapèrent d'un peu partout et me jetèrent dans l'herbe. Je souffrais de douleur. Ils menacèrent tous d'appeler leurs parents, se vantant du métier de chacun... « Moi mon papa il est flic ! Il va t'embarquer ! » Mais quels idiots.... Avec une voix assez faible, je me mis à leur répondre, sous le poids de la douleur.

- ... C'est Mme Gauthier, qui à choisi, je vous signale...

Ils hurlèrent alors, de plus belle, que je devais arrêter de faire mon intello, que je ferais mieux de me la fermer, et ils recommencèrent à me menacer... Qu'est ce que j'ai peur, dites moi... Je tremple de frousse, j'ai la chair de poule, j'ai envie d'appeler ma maman... (Si vous avez cru que j'avais vraiment peur, vous êtes stupide.)
Soudain, je vut Gabrielle s'approcher des cinq personnes, leur faire un énorme sourire. Tout le monde la regardait avec un grand sourire également.. Ironie. Hypocrisie. Stupidité. Après qu'ils aient tout raconté, la jeune fille fit donc toujours son grand sourire, et au grand étonnement de ceux ci, de la surveillante qui ne bougeait pas, des autres élèves autour de nous, et de moi même, elle leurs mis à chacun, une claque, qui retentissa d'ailleurs assez fort. Et toujours avec son éternel sourire, elle leurs dit.

- Voilà, sa, c'est ce que vous avez fait à Arthur. Mais en pire.

Elle me releva sans rien me demander, j'avais toujours aussi mal, mais je m'en fichais un peu en réalité. Et avec toujours son sourire, elle me pris par la main, et m'emmena à l'intérieur de l'école, où une fois arrivés au robinet, elle me nettoya les mains, et une plaie qui saignait au niveau du coude. Avec comme excuse que sa aurait put s'infecter. Et puis finalement, lorsque nous sommes ressorti de la cours, les cinq personnes se taisaient, et étaient assis sur un banc, se tenant chacun la joue... La sonnerie de la fin de récréation sonna quelques minutes après, nous sommes donc rentrés en classe... Après... On a eut physique, où on est entrain d'apprendre l'air, le dioxygène, ces choses comme ça, quoi. Et puis ensuite... Ce fut l'après midi après quelques cours. Nous avions technologie, avec notre professeur de français, donc. Avec un grand sourire, elle nous annonça que l'on allait pas faire cours normalement, mais qu'elle allait à chacun nous donner un sujet, et nous allions rédiger.... Sur le monde d'Internet.

Nous nous sommes donc mis par binôme sur chaque ordinateurs. Moi, vu que personne ne voulait de moi... Gabrielle est venue d'elle même. Nous avions un sujet très... Spécial. « Décrivez la génération d'aujourd'hui, en observant les blogs. ». Il fallait aller sur une espèce de site où on créeait facilement les blogs. Nous avons choisis le premier qui nous est venu sous la main... Et ainsi de suite, finalement nous avons rédigés ensembles... Ce dossier.

La génération d'aujourd'hui, possède maintenant Internet, ce qui lui permet de s'exprimer, de se libérer. De prouver ses passions aussi. Grâces à des blogs. Mais, néammoins, la plupart d'entre eux écrivent en langage SMS, se croyant sur leur cher petit portable. Ou mette des smilies bizarroïdes, parfois d'origine japonaise. Ils demandent aux visiteurs de « lâcher des com's », parfois grâce à des images bizarres et animés. D'autres disent que si on aime pas leur blog, leur travail, leur amis, que c'est pas la peine de laisser un commentaire méchant. Et puis, parfois, il écrivent des articles pour que les autres fassent leur pub. D'autres se mettent également à créer des blogs pour monter leurs écrits, où leurs histoires fait à partir d'un jeu vidéo, les Sims, je crois. La plupart des gens qui écrivent leurs blogs, présentent leurs potes, où il y a souvent chez les filles, la femme, la jumelle, la gouinasse... Et puis, lorsqu'on lis certains commentaires, on se rend compte qu'ils sont méchants avec les autres. Et puis, il y en a qui mettent des belles décorations. Il y a des blogs, fait en collectivité, ou des fois sur le monde du foot, où sur une personne en particulier. Parfois, certains d'entre eux ferment, ou changent d'adresse. Et puis, on a aussi la possibilité d'ajouter dans nos amis certains blogs, quand on en a un. Ou de l'ajouter dans nos préférés si on l'a « kiffé » comme dit si bien l'expression. Certaines personnes crées aussi des blogs, pour rien, juste pour l'amusement, nous en avons même rencontré un qui était en fait un livre... Le titre était d'ailleurs très étrange, mais après tout, pour le monde entier, les blogs ne sont qu'une liberté.

Fin du dossier, après nous avons eut encore cours, et nous sommes rentrés à la maison... Pas de questions pour aujourd'hui, ou juste une...

Pourquoi Gabrielle, as-t-elle pris ma défense ?
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MessageSujet: Re: Les koalas pondent des oeufs.   Les koalas pondent des oeufs. Icon_minitimeDim 22 Juin - 15:14

Chapitre 6
Adultes et Insolence

Finalement, le lendemain... En Français, on a donc répété la pièce de théâtre. D'après la classe, je jouais super mal, j'étais nul, je n'éprouvais aucun sentiment, je ne m'appelais pas Molière, en bref. Mais, Gabrielle, elle... Ils la félicitèrent. D'ailleurs, les cinq qui m'ont embêtés.... M'ont félicités un petit peu, quand même... Je crois que la défense de mon « amie » leur à fait un choc. Tant mieux pour eux. C'est leur vie. Bref, une fois le cours fini, il y a donc eut l'inter-cours, et ma camarade c'est approchée de moi, et m'a dit avec un grand sourire.

- Tu fait très bien l'arrogant.

Sa venait bien d'elle, ce genre de phrase. Je commence doucement à la connaître finalement. Dans un sens, c'est amusant, si on y réfléchis bien, sa pourrais faire presque un jeu. Un jeu psychologique, comme celui qu'on a fait il y a peu, mais aux règles différentes... Devinez ce que l'autre va dire. Ensuite, nous avions Education-Civique. Je hais cette matière, parce que le professeur nous met toujours par deux, et à chaque fois, la personne avec qui je suis m'insulte de tous les noms, me laisse faire le boulot, et dit que c'est d'elle... Hypocrisie. Franchement, hein... Du coup, je me prend souvent des mauvaises notes, comme un 5... Voire un 2.... Mais le plus souvent c'est un 0. Et le professeur me déteste, me traite de bon à rien, et chouchoute les autres.

Mais je m'en fiche totalement, de ma moyenne. Le professeur arrive alors. Cheveux marrons coupés au bol, sourire hypocrite, voire ironique, ou narquois. En tout cas, sans grande vérité. Menteur. Yeux bleus très clair, un peu comme moi, mais les miens sont foncés, bleu marine, comme dirait maman. Il porte toujours des lunettes, c'est donc un myope, ou toute autre chose. Il à aussi une espèce de moustache, et à l'air de dépassé la quarantaine. Le prof' commence donc, à proposer le programme....

- Vous allez décrire tous les adultes qui vous sont importants (y compris les profs), autour de vous. Par binôme, bien sûr. Pour une fois je vous laisse choisir vos groupes...

Bon, et bien, le cours passe, et Gabrielle qui s'est mis avec moi, heureusement, m'aide à faire tous les adultes qu'elle connait elle aussi.... Finalement, lorsque nous avons finit, la sonnerie retentit... Après nous avons encore Education-Civique, vous saviez ? Mais en attendant, je sors dehors, il pleut. Nous sommes presque en hiver, et il ne neige toujours pas. Comme la pluie tombe, tout le monde est sous le préau, et les gens qui d'habitude jouent au foot dessous, ne le font pas. Quand je dis tout le monde, en réalité, c'est faux, quelques uns reste dehors.... Quand l'orage retentit alors... Il n'y a plus personne sous la pluie, sauf moi. Oui, sauf moi... Et Gabrielle. Elle regarde la pluie.

- Tu n'as pas peur ?

Ah, zut, je l'ai pas prévu cette phrase. La prochaine fois faudra que je sois préparé. Mais pourquoi me demande t-elle sa... Les garçons n'ont jamais peur de l'orage, voyons... Alors que je l'observe, je remarque que pour une fois elle ne sourit pas... Avec un certain ton indifférent, je répond....

- Je sais, que s'il me touche... Sa ne dérangera personne, sauf mes parents...

Elle me regarde, et sourit vers moi, ces yeux verts, pétillants à nouveau. Je ne comprendrais jamais cette fille. Mais je sais qu'elle va répondre quelque chose. J'hésite... Ces yeux affichent encore une connotation triste... Mais avant même que je puisse deviner quelque chose, elle me répond, avec un sourire, chaleureux, si beau, mais d'un ton si... Etrange.

- Elle, elle en avait toujours peur. Je la protégeais toujours.

Mais de qui Gabrielle parlait-elle ? Peut être était-ce... De cette jumelle ? Dont elle m'avait parlé il y a deux jours.... Elle baissa les yeux, pourquoi, comment arrivait-elle à sourire comme ça... Et où était sa jumelle...? Et pourquoi, je me préoccupe encore de sa ? Bon sang de bon soir ! La jeune fille me souriait toujours, même si elle baissait les yeux. Comme j'avais une veste à capuche, j'enleva celle ci, et pour protéger son sourire, je lui mis la veste par dessus sa tête. Elle allait attraper froid si elle continuait comme sa à ne pas bouger. Moi, je m'en fiche, je suis très solide d'après les médecins. Et puis j'aurais personne pour les binômes du professeur d'éducation civique... Nous restâmes quelques minutes ainsi, avant que la pauvre sonnerie qui sonnait tout le temps, ne viennent interrompre la récréation pour annoncer la reprise des cours. Je repris donc ma veste, mais ne l'a remis pas. Dans les rangs, en attendant le professeur, Gabrielle me regarda, fit un sourire, et me dit.

- Sous ta capuche, y avait du coton, c'était doux.

C'était sûrement pour elle, sa façon de dire merci... Je n'ai encore pas prévu ce qu'elle allait dire... Mais bon... Je ne lui réponds rien, le professeur que nous avions eut précédemment, à l'air d'avoir un sourire narquois, il doit être content que nous soyons mouillés. Et après c'est moi l'enfoiré... Je crois que je suis beaucoup plus gentil et non-ironique, que lui. Bref, nous devions donc, maintenant, lire ce que nous avions écris, et monsieur le professeur chouchouteur et méchant, s'en pris donc à notre binôme. Je crois que c'était le surveillant dans la cour, et qu'il nous a vu, ou alors il le faisait aussi peut être, parce qu'il me déteste, je n'en sais rien. Quoi qu'il en soit, nous allons donc au tableau, devant tout les élèves, Gabrielle et moi, et c'est la jeune fille qui commença à parler des adultes. Qui sont autour d'elle. Vas-t-elle avouer que ceux ci la maltraite...? Moi je sais, parce que j'ai lu ce qu'elle à écris...

- Mon père, est le chef de la famille dans la maison, se conduisant comme un adulte pressé et impatient. Je doit donc souvent faire les tâches que d'habitude il s'adonne à faire. S'il y a un pneu crevé à la voiture, c'est moi qui le regonfle donc. Parce papa est pressé. Ma mère elle, au lieu de faire la vaisselle et la cuisine, est dans son bureau, enfermée, j'ignore ce qu'elle fait, et c'est donc moi qui fait tout. Ensuite, il y a mes oncles et tantes, que je ne vois pas bien souvent, car ils habitent souvent très loin. J'ai une tante qui vit même au Japon, alors quand elle revient, elle n'arrive pas à parler notre langue, et je l'entend brailler des mots « Arigatô » des trucs comme sa. Et puis, il y a toutes sortes d'adultes que je croisent. Dans le bar à délices de la rue de l'église, il y a une serveuse qui me donne toujours un bracelet comme cadeau, sa fait déjà la deuxième fois.

C'était à moi, de décrire tous les adultes qui m'entourent, et je peux vous dire, que je me suis bien amusé....

- Moi, je vais commencer par ma famille biologique. Mon père était souvent très joueur, et blagueur. Il m'appréciait beaucoup, comme il aimait maman. Celle ci me protégeait toujours des ennuis qui pouvait m'arriver, m'apprenais la vie, avec ces mots, avec son sourire. Mais, ils sont tous les deux morts dans un accident de voiture, alors que moi, je les attendais devant l'école primaire... Une voiture leur est rentré dedans, ils ont foncés dans un arbre, la voiture à roulé, il y a eut un incendie, et ils sont morts.

Le professeur m'interrompit alors, d'une toux brève, et me dit d'un ton très pointu...

- Pourriez-vous éviter de raconter tous les détails, il y a des âmes sensibles sûrement ici. Et puis, votre vie nous interèsse guère, nous voulons juste savoir, les adultes que vous croisez, pas la façon dont ils sont morts.

Fou rire dans la classe... Je hais ce professeur, qui à la passion de me traiter comme un moins que rien. Mais je ne m'y préoccupa guère, et continua donc à parler.

- Ensuite, ma famille adoptive, qui m'a donc adopté parce qu'ils étaient d'anciens amis à mes parents... Maman est très joyeuse, est exerce le métier de coiffeuse. Elle aime faire la cuisine malgré tout, même si c'est papa qui cuisine le mieux. Papa, lui, il est avocat, il travaille assez loin, mais chaque soir, il est là. Malgré qu'il est énormément de travail. Et puis, vu qu'on a le droit de parler des professeurs, je vais parlé de mon professeur principal. Notre professeur de maths. J'ai remarqué qu'il faisait juste son cours parce qu'il le fallait. Du coup, que vous fassiez le bazar, il s'en fiche complètement, et sa a l'air de vous plai...

Le professeur d'Education-Civique m'interrompit une nouvelle fois.

- Je peut lui faire part de vos petits commentaires. Ou à vos parents... Dans votre carnet.

C'est lui, qui a dit qu'on avait le droit de parler des professeurs, non ?

- Pardonnez moi, je vais sûrement vous paraître insolent, mais, c'est vous qui aviez dit que l'on pouvait parler des professeurs qui nous encadrent. Et si je cite correctement vos mots, vous aviez même dit à un élève, d'être franc. Et c'est que je suis. Alors, avoir un mot, juste à cause d'un respect de consigne, non abusé... Ce serait plutôt un abus de pouvoir, non ?

Le professeur devint pâle. Donc, je sut que je pouvais continuer.

- Ensuite, il y a Mme Gauthier, notre chère prof' de français. Elle à le don de s'intéresser à moi, je me demande comment elle fait. Elle à l'air de bien m'aimer. Mais bon... Et puis, parlons donc d'un professeur, qui depuis quelques mois, croit que je ne fais rien, mais mon compagnon de binôme me laisse toujours faire le travail et le signe à son nom, alors que ce professeur le voit très bien, il préfère me mettre une mauvaise note, alors que le but d'un bon enseignant, est de faire évoluer ces élèves. Il est aussi là pour nous éduquer. Ne dit-on pas que l'école est notre deuxième maison ? Et ce professeur, adore me rabaisser,me faire humilier, mais s'il croit vraiment me toucher, je fais le bête, ou je répond, c'est mal et insolent de répondre, mais, sinon, je peut aussi porter plainte, comme à la télévision.

Il c'était reconnu. Le professeur d'Education-Civique c'était reconnu, et son ton était devenu encore plus pâle et blême. Il baissa la tête, et pour finir, pour juste un peu le soulager, je dit donc....

- Mais, je ne suis pas comme à la télévision, et je ne veux pas être pris pour un enfant qui se prend pour un adulte, donc monsieur, vu que vous vous êtes reconnu, je vous fait mes plus plates excuses, mais vous m'aviez dire d'être franc.

Sans qu'il aille nous demander d'aller nous rasseoir, Gabrielle et moi, retournâmes à nos places respectives. La suite du cours, fut très, étrangement calme. Je crois que le professeur me déteste encore plus maintenant... Lorsqu'il a annoncé les notes, il a aussi annoncé les appréciations, mais pas la mienne, malgré tout j'ai eut 18... Sa remonte un peu ma moyenne. Et puis, finalement l'après midi arriva quelques heures plus tard... Nous avions maths, le professeur nous donna une feuille sur la fête de Noël, et j'appris donc les dates de celle ci... Le 12 décembre... Oh, c'est beau, douze jours avant Noël, ils l'ont fait exprès voyons.... Les cours ont passés tout aussi rapidement, et puis finalement, avant de partir, Gabrielle m'annonça quelque chose :

- L'argent, je la trouve parce que mes parents la laissent trainés n'importe où, quand je vais « les corvées ».

Toujours avec son sourire, cette tristesse... Et j'ai une nouvelle question dans ma tête....

Qui étais la jumelle de Gabrielle ?
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