J'ai écrit cette nouvelle parce que j'avais eut une sale note à une autre nouvelle. Et enfait, pendant que la prof expliquait comment faire une nouvelle fantastique, elle a parlé d'un camarade qui à fait un loup mangeant des moutons comme nouvelle, mais ou y avait pas de fantastique. J'ai cru alors voir passé par la fenêtre un loup, et sa m'a inspiré.
Le regard doré du loup enchanté.
Le loup à toujours été considéré comme un animal dangeureux, mangeur d'hommes. Les français l'ont toujours craint, sauf peut être nos ancêtres les vikings qui eux aimaient parlé du combat entre le dieu Odin et le dieu Fenrir. Dans les autres pays, tel que l'Egypte, cet animal était considéré comme quelqu'un qui guidait le chemin vers le monde des morts, vers la porte d'Osiris. On dit néammoins que c'est un chacal. Ou encore, la légende des grecs, l'une des nombreuses concubines de Zeus, prénommée Léto, à été sauvé par son amant avant de voir la colère de Héra s'abattre sur elle. Le roi des dieux l'a transforma alors en louve. Donnant ainsi naissance à Apollon et Artémis, deux grands chasseurs de loups. Il y a aussi la légende de Romulus et Rémus chez les romains.. Avec la louve qui les a gardés... Le loup est aussi connu chez les sibériens et inuits... Tant de légendes sur cet animal qui pour nous est considéré comme dangeureux.
A présent, il ne reste que quelques loups en France, même si ils sont très rares. D'ailleurs, nous les français, disons que le loup est dangeureux, mais pour cet animal, c'est nous qui sommes dangeureux, tentez d'hurler devant un canidé comme lui, il s'enfuira à toutes vitesses. Mais cessons donc ce blablatage inutile qui ne sert vraiment absolument à rien dans cette histoire que je souhaite vous racontez. D'ailleurs, pourquoi je parle de sa ? Car quand j'étais petit, j'ai une fois cru avoir vu un loup porteur de chances... Ou de paroles....
J'avais dans les treize ou quatorze ans. J'étais donc peu vieux, et je vivais encore en Normandie. Nous étions en hiver quand tout cela à commencé. Et d'ailleurs, nous étions aussi en hiver, quand cela à terminé... J'étais un mauvais élève à l'école, que les professeurs détestaient, pour mon non-attention aux cours. Mais en fait je m'ennuyais toujours, c'était trop monotone, trop morne... Toujours la même chose, le même emploi du temps, les mêmes matières. Surtout, que des fois c'était tellement facile... Moi, qui étais le premier de classe, avait un très mauvais comportement.Parfois je dormais, et si on avait un contrôle sur le jour où j'avais dormi, j'avais un peu moins de 20... Parfois 16 voire 15. Il suffisait de lire le livre de cette matière, et je comprenais tout. Mes parents se fichaient un peu de mes notes. En classe, je crois que mes camarades de classes étaient jaloux. Je n'avait que deux ou trois amis... Qui se trouvaient dans les autres classes... Mes compagnons de la classe, étaient surement jaloux de mon intelligence, et comme j'avais un sale comportement, ils l'étaient encore plus. C'était toujours très agréable de ce prendre des insultes méchantes en pleines têtes, ou encore mieux des objets. Parfois je faisait ma crise et partait du cours, mes notes me sauvaient. Pour les récrés je m'amusait avec mes amis, à raconter des trucs vraiment spéciaux. Ma meilleure amie, dont tout le monde disait que c'était ma petite amie, s'appellait Romane. C'était une fille géniale, d'ailleurs j'ai toujours des contacts avec elle. Maintenant elle est mariée. Mais cessons de parler d'elle.
Un jour que j'allais comme d'habitude à l'école, quelque chose qui est le but de cette histoire arriva. Près de mon école il y a une grande forêt. On dit qu'elle contient des légendes différentes. Avec des sangliers enchantés, des histoires de fées etc... Moi je ne croyais pas du tout à sa. Mais ce jour là, à l'orée de la forêt, j'aperçu un animal. Et pas n'importe lequel. C'était un énorme loup au regard tellement pertubant que je me sentait petit face à lui. Il avait l'air fier et me fixait. Je me sentait quelque peu bizarre et pourtant... Son poil était gris, avec quelques taches blanches. Il avait l'air peu vieux. Et était très visible par tous les élèves qui prenaient la même route que moi. Alors que j'eut une émotion resplandissante, j'entendis certains camarades se demander ce que je regardais... Je ne compris pas. En tout cas, pas tout de suite.
Arrivé à l'école, la récré du matin passa rapidement. Je la passait en compagnie de Romane, comme d'habitude. Ensuite, nous devions avoir français. Une matière que j'appréciais particulièrement et où j'avais énormément de compétences. De toutes façons j'ai toujours été doué en langues. Mais je préfère ne pas me vanter, sa va vous dégoûter et vous allez finir par arrêter de lire ce texte. Pendant le Français, j'entendis l'un de mes camarades de classe ce moquer de moi. En disant ces mots :
- Eh l'intello ! Quand tu marche dans l'herbe sa te chatouille sous les bras ?
Le garçon ria doucement, pour se moquer de moi et me narguer. Ils aimaient tous faire ça. Il fallait dire que j'étais très petit pour mon âge...Moi, je ne répondais absolument rien, je ne voyais pas quoi dire, de toutes façons c'était toujours comme ça, je ne trouvais jamais rien à dire... Et je ne répondais rien, ou je répondais mal. Moi qui était un surdoué je ne trouvais que des paroles pathétiques. Les gens aimaient jouer avec moi. Mais pourtant, j'avais envie de lui répondre pour une fois. Et avant même que je parle, les yeux du loup m'apparurent dans ma tête, et sans m'en rendre compte je répondis quelque chose.
- Et toi le bêta, quand tu marche dans l'herbe, on te confond souvent avec un gros rocher ?
Le garçon cessa de rire, et pas seulement à cause de ma phrase qui le cassa net, et qui le fit tout de même taire... Mais aussi parce que le professeur de français était arrivé vers nous, et applaudit. Il me fit un grand sourire. Ce prof' là je l'aimais bien, il était très gentil avec moi. Avec le même grand sourire, il me félicita de ma remarque et dit à l'autre garçon de répondre à la question que j'avais posé, l'autre rougit un grand coup et baissa les yeux. Le reste du cours fut bien calme. Pendant tout le cours je ne fis que penser à ma réponse. Moi qui ne répondait d'habitude rien du tout... Comment avait je put....? L'image du loup me revenu soudain en tête... Non, ce ne pouvais pas être ça, c'était une coïcidence que ses yeux m'étaient apparus... Ses yeux si dorés... Moi qui m'étais senti peu fier devant eux... Lorsque le cours fut terminé, nous avions à présent histoire-géographie, je me dépêcha donc de changer de classe. Dans les couloirs, les gens ont tendance à me balancer des boules de papier, de plastique, de gomme... Pourtant... Cette fois ci ils me les jetèrent, je me retourna et les regarda avec un regard froid. Ils rièrent façe à ma réaction, et le regard du loup revint soudain dans ma tête. C'est là, je crois, que j'ai compris ce qui ce passait. Je me sentais fort et fier, des mots m'étaient soufflés par une voix grave, comme le vent qui souffle... Je les attrapais comme si c'était des pommes qui tombaient d'un arbre, et me mit à parler soudainement, sans même que je puisse m'en rendre compte, en leur répondant quelque chose.
- Sa vous amuse de balançer des boulettes ? A moins que vous m'aimez tellement que vous confondez les confettis avec sa. Vous êtes tellement stupides et puéril.
Je ne sais pas si c'est parce qu'ils ne savaient pas le sens de puéril, ou parce qu'il cherchait quoi répondre, mais les gens baissèrent la tête et se mirent à parler entre eux. Moi je passa mon chemin, en ayant une théorie de ce qui m'arrivait... Mais peut être que ce n'était vraiment que mon imagination. Ou...
Pendant l'après midi, on a quelques heures d'études pour se balader à la bibliothèque, j'en profita pour y aller et chercher des livres sur les mythes. Je trouva un livre très intéressant. Son nom était ? Le loup et les légendes ?. Je le pris, et alla m'asseoir dans un coin, seul et tranquille pour commencer ma lecture. Il y avait toutes sortes de légendes... Mais, l'une d'elle m'intéressa plus que tout. Oupouaout. Le Dieu des Egyptiens, qui guidait les morts vers Osiris pour qu'ils aient le repos éternel... Parfois on disait qu'il avait une tête de chacal... Mais... Le guideur. Mon loup lui ressemblait étrangement. Oupouaout... Aout... Quel beau nom. La sonnerie m'indiqua quelques heures après qu'il était temps de m'en aller de l'école, ce que je fis en toute hâte. Je rejoignit Romane, et lui expliqua que je voulais lui montrer quelque chose, comme elle habitait tout près de chez moi, on prenait assez souvent le même chemin pour rentrer. Je l'emmena au même endroit, ou on avait une vue sur la forêt, et ou j'avais vu le loup de ce matin. Il était encore là, me regardant toujours avec ces yeux qui me glaçait un peu le sang, mais qui pourtant montrait sa grande force. Je le désigna du doigt à mon amie. Et tout ce qu'elle me répondit fut :
- Oh ! Quelle jolie statue !
Je ne la compris pas tout de suite et lui demanda de vérifier. Mais elle disait toujours la même chose. Qu'elle voyait une statue de loup. Le soir, lorsque je me coucha dans mon lit, je ferma les yeux et réfléchis au évènements... Le matin j'ai cru voir un loup vers la forêt, que personne ne voyait, ensuite, alors que quelqu'un m'insulta, j'ai vu son regard doré et j'ai réussi enfin à répondre... Puis dans les couloirs même chose... Et Oupouaout... Ce loup... Peut être me guidait il, non pas dans le monde des morts, mais dans mes paroles...? Ou surtout son regard. Que j'admirait toujours autant... Mais pourquoi Romane ne voyait qu'une statue ? Avait-je halluciné ? Réfléchissant sur ce loup, je ne me rendit même pas compte que je m'endormis. Je le sut quand mon réveil sonna le lendemain.
Comme j'avais mal dormi je mis du temps avant de réussir à me réveiller. Après m'être préparé, je sortit de ma maison. Mon père et ma mère me saluèrent chaleureusement. Je partit donc en route pour le chemin de l'école, tel un bon collégien. Je m'arrêta devant la forêt... Le loup était toujours là, à me fixer... Constamment... Pendant toute la journée, je réussit encore à répondre à tout le monde... Les jours passèrent... Romane me disait toujours que j'hallucinais, le loup était toujours là. Je m'améliorais de plus en plus pour trouver des paroles qu'il fallait dire... Finalement, un jour, je ne regarda même plus Aout avant de partir.
Ce jour là, quelqu'un s'approcha de moi une fois que je fut arrivé, il m'insulta mais d'une manière... Toutes les insultes qu'il pouvait dire, et ce mit alors à rigoler, s'attendant à ce que je pleure...Peut être...? Tout ce que je sut faire, je le fit, et sans voir le regard doré de mon loup Aout.
- Si tu crois que je vais me mettre à pleurer, ce serait plutôt de rire, tellement tu es pathétique.
Le garçon serra le poing, et me frappa, longtemps, personne ne réagissant, soudain il sortit un couteau... Bah... Il voulait peut être me faire très mal... Le plus étonnant arriva, Aout apparut en face de moi, et mordut le jeune garçon qui tomba par terre. Puis mon loup disparu en me regardant une dernière fois... J'ai même l'impression maintenant, qu'il m'avait fait un clin d'oeil. Comme pour me féliciter. Ou me dire "bien joué". Le lendemain, nous étions le dernier jour de l'hiver. Un dimanche. J'alla vers la forêt, pour le remercier, même si je savais que j'avais sûrement halluciné, car l'autre garçon n'avait pas vu mon loup, ni Romane, ni personne, sauf moi. Oupouaout n'était pas là. Tout ce qu'il y avait à l'orée de la forêt, c'était une statue. Une statue d'un loup. Me regardant toujours fixement. Je caressa la tête de cette statue, et le remercia. Mes larmes coulèrent sans que je m'en rende compte. Je l'aimait ce loup, il m'avait tant aidé... A présent, tout ce qu'il restait de mon hiver passé... Etait le regard doré du loup enchanté.
Fin
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Bon j'avoue, c'est un peu du n'importe quoi...Mais....