Je ne sais pas si vos connaissez ce livre: Le fantôme de Canterville, de Oscar Wilde. C'est l'histoire d'un fantôme qui hante le château du ministre des États-Unis: Mr Otis. Il fait peur aux gens qui habite dans ce manoir depuis 300 ans. Mais la famille du ministre, elle, n'a absolument pas peur. Ce qui les énervent, c'est le bruit que font les chaines du fantôme. Une nuit, le ministre lui donne de la graisse pour les chaines, et ça ne plait pas au fantôme.
Nous devions donc inventer la site, en disant comment le fantôme s'était vengé du ministre, pour cette "insulte" ^^
J'ai eu 15/20, ce qui est en fait une bonne note pour la prof...
Voilà son commentaire: "Beaucoup de finesse, d'idées, et de vocabulaire. C'est bien. Texte agréable à lire."
Le fantôme était très mécontent, mais surtout frustrè. Lui qui avait fait trembler des tas de gens, qui faisait si peur autrefois... Il devait se venger. Ce Mr Otis ne pouvait s'en sortir ainsi. Il réfléchit, assis sur le rebord de la fenêtre. Soudain, une idée li vint, un rictus se forma sur l'horrible visage du spectre. Il se leva et marcha en faisant le moins de bruit possible. Mr Otis avait peut-être raison...il fallait graisser ces chaines. "Non ! Jamais je ne suivrais un conseil d'un être si...gentil !" pensa le fantôme en grimaçant. Arrivé dans le salon, il ramassa le flacon qu'il avait jeté. Il sortit et monta les escaliers pour arriver devant la chambre d ministre. Il était tout essoufflé. Il tendit l'oreille, un brit étrange l'intrigua. Mais il soupira de soulagement lorsqu'il reconnut le ronflement de Mme Otis, c'était pareil toutes les nuits. Le fantôme de Canterville se remit à sa tâche. Il déboucha le petit flacon et le fit tomber: une odeur atroce s'en dégageait. Il lut la notice et vit: "Une senteur de rose qui couvre la mauvaise odeur de la graisse." "Répugnant" pensa le fantôme. Il entendit des bruits de pas dans la chambre. Il graissa vite le parquet et se cacha dans l'armoire du couloir. Il attendit, espérant que son plan marcherait. Mais rien. Personne ne venait. Il tapa donc fort sur les portes de l'armoire. Le cliquetis de la porte le fit taire. Il entrouvrit l'armoire et vit Mr Otis glisser et tomber sr le dos. Il éclata d'un rire démoniaque, passa devant Mr Otis, sans un regard, bien qu'il fût très satisfait. On ne devai, jamais, jamais, traiter le fantôme de Canterville d'ne telle façon !